SANDRINE PAPADOPOULOS

NOUS, HUMAINS

Voilà un thème particulièrement difficile…
J’observe beaucoup les gens autour de moi, je leur prête parfois des histoires, mais ce qui m’attire surtout c’est la spontanéité dans la scène de tout ce monde qui s’agite plus ou moins. 
C’est un exercice qui est venu plus tard dans mon parcours. Peur de déranger, peur de l’intrusion, peur de l’autre finalement. J’ai donc commencé timidement, peut-être même d’une façon lâche diront certains photographes, qui eux, n’hésitent pas à s’approcher de leur(s) sujet(s).